Nicolas Sarkozy persiste dans son idée
d'obliger les salariés ayant perdu leur emploi à suivre des formations, puis à
accepter le premier emploi correspondant.
Après le service minimum dans les entreprises publiques, cette nouvelle forme de travail obligatoire ne semble pas poser de problèmes éthiques à notre président. La gauche quand à elle, s'indigne surtout du soupçon de fraude que cette mesure fait peser sur les chômeurs indemnisés et sur les nouvelles contraintes que subiront les demandeurs d'emploi.
Mais l'indemnisation des chômeurs est-elle vraiment équitable ?
Cette question peut paraître saugrenue ou provocatrice, tant l’État providence nous a appris qu'il était indispensable. Et pourtant ! la société dans laquelle nous vivons, incroyablement dirigiste et étatiste, fait intervenir tellement de mécanismes correcteurs et pseudo redistributeurs qu'il est facile de perdre ses repères et de confondre le mal et ses supposés remèdes.



Une proposition de loi visant à pénaliser les clients des prostituées a été déposée à l'assemblée nationale. Cette proposition fait suite au rapport publié en avril dernier par la la mission d’information parlementaire sur la prostitution. La député socialiste Danielle Bousquet en était la présidente et Guy Geoffroy, UMP, le rapporteur. Avant que cette proposition de loi soit soumise au vote, une résolution symbolique a déjà été votée à l'unanimité par l'assemblée le 6 décembre. Elle "réaffirme la position abolitionniste de la France dont l'objectif est, à terme, une société sans prostitution" et juge "primordial que les politiques publiques offrent des alternatives crédibles à la prostitution et garantissent les droits fondamentaux des personnes prostituées".
Le cerveau des traders manipulé par
leurs hormones est le titre d'un intéressant article que le journal Le
Monde a publié dans ses cahiers sciences & technos, n˚ 20750 daté du
Samedi 8 octobre 2011.
Depuis quelque
temps circule sur Internet une fable censée expliquer la crise en termes
simples et de façon imagée. Cette histoire, qui est diffusée sur les blogs et
par courrier électronique, désigne "le marché" comme un coupable doublé d'un
escroc. Il s'agit de servir aux "indignés", dont la journée internationale aura
lieu le 15 octobre prochain, une version qui les amènera à réclamer un
renforcement des pouvoirs publics. Car telle est bien la subtile dialectique de
cette parabole, obtenir des victimes, qu'elles réclament elles-mêmes le
renforcement des instances qui les ont détroussées.
Il est clair que manuel Valls est le
moins réactionnaire des candidats de la vieille gauche étatiste à la présidence
de la république. Gauche Libérale appelle donc ses sympathisants à voter pour
lui.
Le basculement du sénat à gauche vient
définitivement d'enterrer la règle d'or voulue par Nicolas Sarkozy. Ce
dispositif, adopté dans plusieurs pays européens, mérite pourtant un
décryptage.
Le projet de taxation des
très hauts revenus semble faire consensus. Il démontre, une fois de plus,
l'unicité de vue et de réaction d'une classe politique tristement prévisible.
Alors que l'opposition est prise de court, l'UMP et le Centre, initiateurs de
la mesure, voient même certains riches leur apporter leur soutien.
Il y a quelque chose de fascinant
à suivre les débats des dirigistes. On a beau être averti, blindé, on a beau
s'attendre à tout, ils arrivent encore à nous surprendre.
Onze jours après la publication
de notre précédent article ce sont donc les graines germées -
allemandes - bio qui sont à l'origine de
l'intoxication et non les concombres -
espagnols - bio.
Le silence des médias français
sur l'origine biologique des concombres espagnols incriminés dans la mort de 11
personnes est proprement ahurissant. Cette information importante, au moins
autant que l'origine espagnole présumée de l'infection, est complètement
occultée par une majorité des grands médias. Ce sont les internautes qui se
chargent de transmettre l'information via les commentaires et les forums.

Contraindre les
bénéficiaires du RSA à effectuer un travail d'intérêt général, voici la
nouvelle idée qui vient donc de germer dans l'esprit de Laurent Wauquiez (UMP)
et de son groupe "la droite sociale". Une proposition de loi va être déposée à
l'assemblée dans les dix jours.
L'accident de Fukushima, le troisième depuis l'avènement de ce nouveau mode de production de l'énergie, conduit naturellement les dirigistes à se poser la question de la pertinence de son exploitation. On voit ainsi fleurir les demandes démagogiques de "débat démocratique", voire de référendum sur le sujet.