Tous les conducteurs ont fait à un moment ou à un autre, la douloureuse expérience d'une circulation réglementée par un ou plusieurs agents de la force publique. Cette aventure peut advenir lorsque des feux de circulation sont en défaut, lors d'une panne électrique de quartier, ou à l'occasion du passage d'un convoi officiel. Il est à noter que cette dernière éventualité prend de plus en plus le pas sur les deux premières : la probabilité de croiser une Citroën C6 noire (le pouvoir c'est sérieux) et diesel (pour faire des économies) accompagnée d'un convoi de gendarmes (de toutes façons ils sont payés, autant les utiliser) étant devenue nettement plus élevée que celle d'une panne électronique ou électrique.
Bref, nous l'avons tous constaté, la présence d'agents "régulateurs" au milieu d'une intersection ou nous passons tous les jours provoque une invraisemblable pagaille.
Le cerveau des traders manipulé par
leurs hormones est le titre d'un intéressant article que le journal Le
Monde a publié dans ses cahiers sciences & technos, n˚ 20750 daté du
Samedi 8 octobre 2011.
Depuis quelque
temps circule sur Internet une fable censée expliquer la crise en termes
simples et de façon imagée. Cette histoire, qui est diffusée sur les blogs et
par courrier électronique, désigne "le marché" comme un coupable doublé d'un
escroc. Il s'agit de servir aux "indignés", dont la journée internationale aura
lieu le 15 octobre prochain, une version qui les amènera à réclamer un
renforcement des pouvoirs publics. Car telle est bien la subtile dialectique de
cette parabole, obtenir des victimes, qu'elles réclament elles-mêmes le
renforcement des instances qui les ont détroussées.
Il est clair que manuel Valls est le
moins réactionnaire des candidats de la vieille gauche étatiste à la présidence
de la république. Gauche Libérale appelle donc ses sympathisants à voter pour
lui.