Gauche libérale - Mot-clé - partis - CommentairesValeurs libérales classiques de la gauche originelle. Droits de l'homme - liberté - laïcité - raison2024-03-01T19:42:20+01:00association gauche libéraleurn:md5:c8a69c990e3072db2745e87b929cd340DotclearCarte 2D du Paysage Politique Français (PPF) - mise à jour février 2014 - Dr. Gouluurn:md5:14fd314b7255dfa918a3530e2183d1392017-05-14T21:24:37+02:002017-05-14T20:24:37+02:00Dr. Goulu<p>Bonjour,<br />
j'ai repris et cité votre carte dans mon article <a href="https://www.drgoulu.com/2017/05/14/la-politique-francaise-dans-la-deuxieme-dimension/" title="https://www.drgoulu.com/2017/05/14/la-politique-francaise-dans-la-deuxieme-dimension/" rel="nofollow">
https://www.drgoulu.com/2017/05/14/...</a> qui montre la puissance de ce type
de représentation lorsqu'on dispose de données quantitatives (comme en
Suisse...)</p>Carte 2D du Paysage Politique Français (PPF) - mise à jour février 2014 - olive13urn:md5:ac31b4954d30b5c117f439618833dd202014-09-02T10:46:57+02:002014-09-02T09:46:57+02:00olive13<p>Très bon diagramme de Nolan, seulement j'ai remarqué quelques erreurs qui ne
sont pas anodines. A.Madelin étant Français ne doit pas être en rouge, Pinochet
était libéral (inspirée de F.Hayek) il devrait être plus haut dans la carte ,
Jean Marie Le Pen étant lui aussi Libéral (Reaganien) il devrait être replacé
vers le haut.....en effet cette place est bien plus appropriée à sa fille
Marine Le Pen.</p>Carte 2D du Paysage Politique Français (PPF) - mise à jour février 2014 - alcoduurn:md5:17f6db3de0b5a08448f94c6373d067b52014-03-10T23:54:11+01:002014-03-10T23:54:11+01:00alcodu<p>J'ai bien essayé d'établir une grille de points économiques et sociétaux
pour tenter de rendre le classement "objectif" mais j'ai rapidement
abandonné.<br />
Le classement est donc établi à partir de la bio des individus, de leurs
ouvrages et, pour les partis, des prises de positions économiques et sociétales
connues.</p>
<p>"Nous citoyens" et "nouvelle donne" seront classés après qu'ils aient
participé à des élections significatives (c'est la règle). En tout cas je les
suis attentivement...</p>Carte 2D du Paysage Politique Français (PPF) - mise à jour février 2014 - ericSurn:md5:561a6dd2921f7fb3a1b1e856916abeac2014-03-08T11:49:05+01:002014-03-08T11:49:05+01:00ericS<p>Article intéressant dont je vous remercie.<br />
Deux questions:<br />
- sur quelles bases techniques le schéma est il établi?<br />
- comment positioneriez vous sur le schéma les partis "Nous Citoyens" et
"Nouvelle donne" de Denis Payre et de Larrutourou?<br />
Merci</p>Les libéraux face à la crise - JLERurn:md5:33ed980ea957ba348511cde71842b9b72012-01-19T08:59:01+01:002012-01-19T08:59:01+01:00JLER<p>Comment ca ? Je viens d apprendre qu'il y a un vrai candidat liberale
(Christophe Vincent) qui tente sa chance et on en entend pas parler sur ce
site, ni sur le site de gauche liberale (ni sur n importe quel site liberale)?
J ai l'impression que tout le monde se resigne derriere Bayrou (qui n est pas
un mauvais choix en comparaison des autres candidats existants), mais si on en
a un qui tente sa chance alors il faut faire un peu de pub non ? Bon son
programe est un peu trash (immigration, ecole, AU) et j'imagine qu il faudra
plus que 5 ans, mais c est une candidature qui a mon avis est tres
interessante....</p>Les libéraux face à la crise - alcoduurn:md5:d89730174794915b5de0e1cec8a825ad2012-01-10T18:37:45+01:002012-01-10T18:37:45+01:00alcodu<p>@ Curmudgeon<br />
La position libérale sur le mariage homosexuel me parait claire et
incontournable : abolition du mariage civil. Le mariage privé règle
intégralement le problème.</p>
<p>Sur la question de l'identité, qui revient à décider si un certain groupe
d'individus peut légitimement (au regard du Droit Naturel) en exclure d'autres
sur un "territoire culturel" donné, la question est effectivement complexe.</p>Les libéraux face à la crise - Emmanuelurn:md5:635665faec9991af0a1a6d6570cb4d5f2012-01-10T17:16:29+01:002012-01-10T17:16:29+01:00Emmanuel<p>"d'autres rejoignent un certain "bon sens populaire".<br />
Je suis frappé de constater que les gens rejettent souvent le libéralisme
(uniquement parce qu'ils l'associent à la défense des privilégiés, ou, pour les
plus intellos, à un ordre consumériste dominé par la publicité) alors que,
quand ils se positionnent concrètement, ils sont libéraux.<br />
Par exemple, telles personnes en appellent à l'Etat pour taxer les riches et
faire "du social" mais pestent contre la SNCF en disant : c'est l'absence de
concurrence et le monopole qui font qu'il y a des dysfonctionnements dans le
trafic ferroviaire.<br />
Les mêmes diront que les politiciens sont par nature incapables et qu'il faut
laisser la société s'organiser librement.<br />
Sur l'Ecole, la plupart des propositions libérales sont plébiscitées selon les
sondages (libre choix des parents, autonomie des établissements...).<br />
A y perdre son latin.<br />
Reste que le libéralisme est une idéologie, passionnante, mais une idéologie.
On peut comprendre que l'opinion n'y adhère pas spontanément. D'autant qu'avec
le libéralisme, on abandonne la proie pour l'ombre : l'étatisme est peut-être
honni mais il rassure.</p>Les libéraux face à la crise - Curmudgeonurn:md5:377d3f4a75f34fb4265c6311c5c2a2a02012-01-10T16:20:57+01:002012-01-10T16:20:57+01:00Curmudgeon<p>Si les libéraux, de tous styles, parvenaient déjà à faire passer un peu de
leur message chez les "élites" et dans la grand public, ils n'auraient pas
totalement perdu leur temps. Surtout si ce message percole de divers côtés, à
gauche comme à droite, suivant les "sensibilités", comme on dit.</p>
<p>Et ça ne peut pas se faire très rapidement, même si le temps presse. Des
habitudes d'addiction étatistes sur des générations ne se guérissent pas dans
le laps de temps de l'élection présidentielle, en quelques mois,
malheureusement. On est même obligé de patienter en attendant un remplacement
de génération, un enseignement et des médias comptant des professeurs et des
journalistes plus cultivés, moins provinciaux, plus froids, moins
idéologisés.</p>
<p>Mais certains des principes invoqués par les libéraux peuvent se formuler de
façon peu technique, voire accessible à des écoliers, par exemple : "On ne peut
pas vivre durablement au-dessus de ses moyens". Si certains concepts
économiques, certains mécanismes du marché, sont carrément anti-intuitifs (qui,
spontanément, saisit ce qu'est la valeur subjective, la valeur ajoutée,
l'avantage comparatif ?), d'autres rejoignent un certain "bon sens populaire",
ce qui devrait les rendre diffusables assez facilement. Et c'est au contraire
le paradoxe "brillant" du style "Vive la dette !" qui peut être dénoncé comme
l'illusion statolâtrique qu'il est.</p>
<p>Pour savoir quel candidat choisir, il faut attendre encore un peu que les
fameux programmes soient bien explicités. De plus il ne faut jamais oublier
qu'une élection de ce genre ne se fait pas uniquement sur des critères
économiques, même si c'est actuellement le domaine le plus visible. Les gens
qui sont libéraux en économie peuvent, sur des questions sociales, juridiques,
constitutionnelles, morales, métaphysiques, religieuses, se répartir dans un
éventail de positions diverses, qui vont, elles aussi, déterminer quel sera
pour l'électeur le candidat par défaut. Ainsi, la division des libéraux (en
économie) sur des questions comme le mariage homosexuel, l'immigration,
l'islam, n'est pas mince. Or ce sont des questions qui sont peut-être plus
fondamentales, car il en va ici non pas seulement d'une "crise", mais carrément
de la nature même de la société. L'anathème qui a été jeté sur toute discussion
concernant l'"identité" montre qu'il n'est pas facile de parler clairement de
ces affaires. D'autant qu'il y a des choses qui confinement au politiquement
indicible.</p>Les libéraux face à la crise - Emmanuelurn:md5:57072bbceca2ee0aa825da73f38dbae12012-01-10T13:09:05+01:002012-01-10T15:08:16+01:00Emmanuel<p>Bayrou me semble être le moins illibéral de tous (je fait référence à son
livre "Etat d'urgence") :</p>
sur l'économie, il est clairement contre le protectionnisme, pour une politique
de l'offre, refuse sans ambiguité le dirigisme économique et annonce la couleur
: 100 milliards de réduction des déficits dont 50 de réduction des dépenses sur
l'Ecole, après quelques pages destinées à rassurer les profs, il dit en
substance ceci : les ministres se sont tous plantés avec leurs "réformes"
imposées d'en haut, ça ne marche pas. Conséquence, il faut s'appuyer sur les
profs qui réussissent et innovent et généraliser leur expérience.
<p>Pour le reste, il ne croit pas aux propositions gadget-miracle comme la TVA
sociale, refuse les effets de menton à la Sarko comme les promesses dépensières
de la gauche traditionnelle.</p>Les libéraux face à la crise - JLERurn:md5:4ae8f111480c406208ff64093aefeb712012-01-09T11:35:11+01:002012-01-09T11:39:39+01:00JLER<p>Oui j'imagine qu il n est pas évident de mettre un Lemmenicier (voire un
Guillaumat bien chaud apres une envolée sur Lumiere 101), un Madelin, et un
Gave (enfin si il fini son site internet un jour) autour d une même table pour
ecrire un programme. D'ou l'intérêt d'un mouvement independant liberal. Avoir
le PLD et AL me parait aussi compliquer les choses. Bon après il ne faut pas
non plus simplifier de maniere abusive juste pour paraître claire car la
realité est complexe. C est un peu notre chemin de croix malheureusement car le
liberal ne peut utiliser le clientélisme pour des fins électorales...</p>Les libéraux face à la crise - alcoduurn:md5:4cbf2dd43742800db576a458e9d56b752012-01-09T10:21:44+01:002012-01-09T10:21:44+01:00alcodu<p>Le point de vue est défendable.<br />
Mais ces subtilités ne rendent-elles pas le discours inaudible par le public ?
Ou tout au moins facilement attaquable : "voyez ces libéraux, incapables de se
mettre d'accord" ?</p>Les libéraux face à la crise - JLERurn:md5:f2d66a162dee30b902f0baa50c3eb35e2012-01-09T04:37:37+01:002012-01-09T04:37:37+01:00JLER<p>Il y a un peu de sophisme dans cet article car beaucoup de ces points ne
sont pas contradictoires. On peut tres bien etre pour le free banking comme
solution strategique de long terme, etre partisant d'un defaut des etats (pour
eviter a l'avenir un transfer d epargne du secteur prive vers le secteur
public), tout en souhaitant une Allocation Universelle (auto financee sans
creation de dettes (et sans creation monetaires pour ma part)) en alternative
aux systemes actuels. Pour y arriver on peut vouloir garder l'euro tout en
rendant legal l'emergeance de monnaies privees en concurrence a l'euro qui
perdrait son monopole. On peut aussi vouloir organiser ce defaut de maniere a
eviter que le defaut affecte les depots des epargants en rendant les depots
"dettes seniors" (on peut admettre qu il y a eu une reelle asymetrie
d'information entre deposant et les banquiers et vouloir proteger la victime
potentielle (le deposant)). Sur le point de vue des idees il y a certes
certains desaccord (free banking versus monnaie mettalique, ou retour au
monnaie nationale versus garder l'euro), mais dans les points ennonces je pense
qu on peut y tracer une colonne vertebrale coherente.<br />
La ou c est le bordel c est sur le choix du candidat a l election
presidentielle car pour un liberale ca ne peut etre qu un choix par defaut.
Pour tout dire il faudra voir le detail des programmes en details, mais
malheureusement j'ai peu d espoir la dessus et je pense que beaucoup de
liberaux se rangeront malheureusement derriere les conservateurs...</p>Tentative de cartographie 2D du paysage politique français - alcoduurn:md5:7dc05ac742b1404209eaae51fce98a3c2007-05-15T18:37:41+02:002007-05-15T17:37:41+02:00alcodu<p>C vrai mais si on définit 100 questions politiques on va déplacer le
problème. il va en effet falloir donner un "poids" gche, dte, libéralisme,
étatisme à chacune des réponses aux questions. Ce qui risque d'être très
discutable.<br />
De plus si on impose une liste de choix aux partis on risque fort de passer à
côté de leur vraies réponses, qui ne sont pas nécessairement "formatées" (oui,
non, ne sais pas).</p>Tentative de cartographie 2D du paysage politique français - jlpurn:md5:fca99f186c75e39655aac3c3553dcaa62007-05-14T17:44:24+02:002007-05-14T16:44:24+02:00jlp<p>il s'agit d'une cartographie au feeling, mais il n'ya pas de raison qu'on ne
puisse pas définir cette carte de façon plus sérieuse, en prenant les positions
de chacun des partis sur une 100aine de questions politiques et de faire
ensuite une ananlyse factorielle des résultats</p>Tentative de cartographie 2D du paysage politique français - Kosmaliosurn:md5:df315e2a708ad994ac1699b1d870566e2007-04-14T12:22:45+02:002007-04-14T11:22:45+02:00Kosmalios<p>J'ai eu la même idée une fois de faire une carte pour définir le champ
droite-gauche. J'ai également placé deux axes orthogonaux, orientés par des
vecteurs vers la gauche et le haut.<br />
L'axe des "y" correspond au rôle de l'Etat et à la conception du rôle de
l'Etat, va de l'anarchie (en bas) jusqu'au totalitarisme en haut.<br />
L'axe des "x", en revanche, correspond au sens de l'histoire. A gauche, la
révolution, à droite, la réaction. Le point 0 correspondrait à la zone
radicale-socialiste, point d'équilibre des forces politiques (ce qui explique
qu'il existe des radicaux de droite et des radicaux de gauche).<br />
L'objectif est de démontrer que le clivage droite gauche ne correspond
nullement à une conception de l'Etat par rapport à la société (l'axe y), mais
correspond à une conception de l'histoire. En effet, l'ensemble forme une sorte
de chromosome dont le centromère se situe pile sur le parti radical, avec des
nébuleuses monarchistes à l'extrême droite qui court le long de l'axe des "y"
(orléanistes libéraux plus au pôle anarchique que les légitimistes).</p>
<p>L'avantage est que l'on a une définition à peu près correspondante à la
définition de Chantal Delsol de la droite et la gauche. La gauche est
l'émancipation (la révolution), la droite l'enracinement (la réaction). A
noter, la droite est globalement conservatrice, et non pas réactionnaire sauf
monarchistes et pétainistes.</p>