Gauche libérale - Mot-clé - écofascisme - CommentairesValeurs libérales classiques de la gauche originelle. Droits de l'homme - liberté - laïcité - raison2024-03-01T19:42:20+01:00association gauche libéraleurn:md5:c8a69c990e3072db2745e87b929cd340DotclearL'écologie fasciste : l'« aile verte » du parti nazi et ses antécédents historiques - sylvain leserurn:md5:4000265488ecdcc5eb2a1f593c21221d2020-09-30T22:00:51+02:002020-09-30T21:00:51+02:00sylvain leser<p>ah dite donc votre truc il tourne encore ?<br />
bah on va voir si les commentaires sont encore ouvert...<br />
⚠️ Debunk de Peter Staudenmaier :<br />
<a href="https://www.academia.edu/36186304/Compte" title="https://www.academia.edu/36186304/Compte" rel="nofollow">https://www.academia.edu/36186304/C...</a><sub>rendu</sub>Peter<sub>Staudenmaier</sub>Politica_Hermetica</p>
<p><strong></strong><strong></strong><strong></strong>_<br />
Bonjour hier j’ai vu cet article passer sur mon fil Facebook avec un commentaire de monsieur Aurélien BARRAU en qui j’ai toute confiance pour ses commentaires sur tout un tas de sujet , il est pour moi une référence sans faille et j’ai un immense respect pour ce monsieur à la chevelure de Shiva et à la force de Rahan mais surtout ses nombreuses explications quand aux Sciences et à l’actualité, ses engagements nombreux , quand à ce que la planète subit actuellement. Alors je me permet avant tout de citer le commentaire qu’il a fait sur cet article. Puis j’en viendrai au mien; j’ai lu vite fait ce papier et avais autre chose à faire donc je l’ai commenté à la va vite . Merci donc d’en être là à présent . Je vais exprimer aussi ce que je pense et ressent de ceci et du sujet (Veuillez pardonner mon orthographe et mes tournures de phrase, je les corrigerais si nécéssaire).</p>
<p>Aurelien BARRAU<br />
Hier, à 11:08 ·<br />
Certes, certes, ce n’est que Contrepoints ! Mais quand-même … Ce niveau de démence n’est pas insignifiant. Oser les liens entre écologie et nazisme … Ils ne renonceront à rien et tous les moyens seront bons. C’est dingue : on leur explique que la vie est en train de s’effondrer sur Terre – ce qui est scientifiquement acté – et ils répondent « L’écologie n’est-elle qu’un moyen pour les réactionnaires socialistes de maintenir les libéraux hors de la gauche » ? Leur logiciel éthique, esthétique, logique et sémantique est tellement buggé – ou bloqué sur un passé fantasmé -, tellement atrophié, qu’ils ne parviennent même pas à comprendre l’enjeu, en fait. Ils rabattent l’immense sur l’infime. Ils ratent la vie, ils ratent le monde. Et ce n’est pas vrai qu’avec l’écologie … Le racisme, c’est cela aussi : ne pas comprendre qu’il y a plus d’une manière de jouer.<br />
<strong></strong><strong></strong><strong></strong>__</p>
<p>Xavier François: Il me semble que la position du mouvement l’anthroposophique en terme d’écologie politique est moderniste sans être traditionnaliste (il n’est pas pour la communauté contre l’individu). Mais il n’est pas modernisme au sens de l’écomodernisme. Il se distingue à la fois de (1) l’écomodernisme (les écolos pro-nucléaire), (2) de ce qui s’appelle le modernisme réactionnaire : c’est-à-dire le romantisme idéologique + l’anti-république + la haute technologie (c’est la position du national socialisme en gros), et (3) du néo-traditionnalisme (genre retour à la terre, dans la lignée Rabhi).</p>L'écologie fasciste : l'« aile verte » du parti nazi et ses antécédents historiques - alain cohen-dumouchelurn:md5:cc6194f877d04c1baff87fb83432d4192019-11-03T18:18:54+01:002019-11-03T18:22:58+01:00alain cohen-dumouchel<p>Merci pour cette réponse constructive et argumentée.<br />
Je ne crois pas que l'écologie a seulement été "instrumentalisée par
l'extrême-droite ". Le but de la publication en français de l'article de Peter
Staudenmaier est justement de montrer que l'écologie est au cœur du système
Nazi et que ses racines historiques profondes appartiennent à l'extrême droite,
ce qui doit nous rendre très vigilant sur son évolution présente. Il ne s'agit
donc absolument pas d'instrumentalisation. Il s'agit de la source même de
l'écologie.<br />
<br />
Ceci dit, la conservation n'est pas un mal en soi. Un conservateur de musée
n'est pas un être diabolique. La conservation des espèces est certainement
nécessaire. Donc le conservatisme se justifie. Inutile de le faire passer pour
du progressisme pour que sa raison d'être soit pleine et entière. Il faut des
conservateurs dans une société, et d'ailleurs nous le sommes tous plus ou moins
à titre privé.<br />
<br />
Mais lorsque vous écrivez "Donc si on saccage la nature et tout ce qui la
constitue (peu importe au nom de quel idéal), on réduit l'espérance de vie de
l'espèce humaine. ", je dis attention ! car c'est précisément au nom de ce type
d'argument que l'appareil Nazi a été mis en place. Les Allemands étaient
persuadés que leur race allait disparaître. Ils étaient intimement convaincus
qu'ils adoptaient des mesures "courageuses" pour la survie de leur espèce, donc
pour les "générations futures". C'est cela qui est effrayant dans la situation
actuelle.<br />
<br />
Dire que le socialisme est réactionnaire est tout à fait juste historiquement.
Le socialisme est une (des) réaction(s) à l'ordre spontané capitalien. Yves
Guyot et les libéraux du XIXe ont bien analysé le phénomène. J'ai essayé d'en
donner un résumé sous l'angle de la propriété dans mes deux articles "la
propriété expliquée aux socialistes". En effet, la propriété imaginée par les
socialistes est bien une régression vers la propriété "équitable" telle qu'elle
a existé depuis l'antiquité.<br />
<br />
Lorsque vous écrivez : "L'écologie progressiste s'attache plutôt à proposer des
alternatives au productivisme, pour que l'être humain se réalise pleinement
dans un monde où il n'est plus réduit à une fonction de producteur ou de
consommateur, et où, s'il retrouve une certaine symbiose avec la nature, ce
n'est pas du tout incompatible avec le fait de se développer technologiquement.
";<br />
très honnêtement ce n'est pas du tout ce que j'observe dans les mouvements
écologistes "modérés". J'y vois toujours un anticapitalisme primaire, des
interdictions absurdes (OGM, glyphosate) des promotions absurdes (bio), la
promotion massive et très inquiétante des fausses sciences. Bref un nouvel
arsenal antilibéral qui vise à se substituer au défunt socialisme. Et pourtant,
vous avez raison, il y a des vrais problèmes et probablement des solutions à
trouver.<br />
Mais de même que le socialisme n'a jamais réussi à améliorer le sort des plus
démunis, je dis bien jamais - Si des milliards de personnes sont sorties de la
pauvreté dans le monde au cours des vingt-cinq dernières années, c'est bien
grâce à l'économie de marché, pas au socialisme, ni au communisme. Le
socialisme n'a jamais fait que maintenir les peuples dans la misère, comme dans
les pays arabes par exemple. Comme j'aime à le dire (boutade) : le progrès
social doit au socialisme ce que le monte-charge doit à la télékinèse. - il est
très probable que l'écologie politique n'arrivera jamais à régler les problèmes
d'environnement. Au désastre social et humanitaire provoqué par les
socialismes, succédera un désastre environnemental provoqué par les
écologistes. Le bio, une catastrophe pour l'environnement, en est une des
prémisses observables.<br />
<br />
Enfin je ne vous suis pas du tout sur la "régression de la condition humaine".
Jamais l'humanité ne s'est aussi bien portée, l'extrême pauvreté est en
régression rapide et constante, l'illettrisme est à un plus bas historique, la
proportion de classes moyennes augmente partout dans le monde, les victimes de
catastrophes naturelles et de guerres sont en chute libre.<br />
Quand à "la politique que mènent les USA ou le Brésil, ou certains régimes
d'extrême-droite en Europe. " force est de constater qu'elle est justement
violemment antilibérale, qu'elle se moque des droits de individus, des droits
de l'homme, qu'elle veut rétablir la préférence nationale et le
protectionnisme.<br />
<br />
Donc oui, il faut être soucieux de préserver la flore et la faune naturelle, il
faut vivre harmonieusement avec notre environnement et ne pas scier la branche
sur laquelle nous sommes assis, il faut essayer de ne pas faire souffrir le
monde animal, mais jamais le dirigisme écologiste n'arrivera au résultat
escompté, comme jamais le dirigisme socialiste n'est arrivé à un mieux
social.<br />
<br />
La mouvance gauche libérale est en effet favorable au revenu universel libéral.
J'ai essayé d'en dresser les contours dans trois articles sur ce blog. Il se
distingue assez nettement de son homonyme socialiste en ce sens très résumé
qu'il n'est pas un "droit à". Mais toute société évoluée se doit de protéger
ceux qui sont inadaptés à la "grande société" Poppérienne, ou plus simplement
ceux qui sont victimes d'accidents de la vie.</p>L'écologie fasciste : l'« aile verte » du parti nazi et ses antécédents historiques - Jonathanurn:md5:ebc6efc4a224dcac4a9a193a0520db482019-11-02T16:19:54+01:002019-11-02T16:19:54+01:00Jonathan<p>Le fait que l'écologie ait été instrumentalisée par l'extrême-droite
n'empêche pas du tout que les autres courants politiques s'emparent de ce
thème. Après tout, si on suivait ce raisonnement, plus personne ne devrait se
réclamer du socialisme puisque l'extrême-droite l'a fait aussi. Laissons le
monopole des concepts à ceux qui les dépouillent de leur substance. Ce n'est
pas une option en ce qui me concerne...</p>
<p>Certes, l'essence de l'écologie est la conservation, et certes, il y a des
mouvements dans l'écologie qui sont radicaux, qui haïssent la technique par
principe, qui sont réactionnaires. Mais fort heureusement, ils ne sont pas
majoritaires et encore moins monopolistiques bien qu'ils fassent plus de bruit.
Au-delà de cet aspect, il ne faut tout de même pas oublier que les êtres
humains sont consubstantiels à l'environnement. Sans la nature, l'être humain
ne pourrait même pas respirer. Donc si on saccage la nature et tout ce qui la
constitue (peu importe au nom de quel idéal), on réduit l'espérance de vie de
l'espèce humaine. De fait, il me paraît assez aberrant d'opposer les deux
concepts. Il faut donc bien un tant soit peu conserver ce qui permet à l'espèce
humaine de vivre, si on ne veut pas sa fin, là l'équation est assez simple à
comprendre. Du moins, la question se posera tant que l'humanité n'aura pas
trouvé les technologies pour migrer vers une autre planète habitable, ou tant
que l'humanité ne sera pas sortie de la primitivité, et donc "augmentée" pour
se passer des besoins primaires. Autant dire qu'on n'y est pas encore.</p>
<p>Et je m'interroge sur votre définition du progrès. Parce que dire que le
socialisme est réactionnaire n'est pas juste historiquement. Déjà parce que le
socialisme n'abandonne pas l'idée de progrès humain au nom de la conservation
de la nature, contrairement à ces mouvements radicaux. Ensuite, parce que si le
socialisme était productiviste aux XIXe et XXe siècle (et c'est encore le cas
pour une partie de la gauche, je le déplore), à cette époque la réflexion sur
l'impact de l'activité humaine sur le climat n'en était tout au plus qu'à ses
balbutiements. Il est donc assez logique et sain d'évoluer lorsque les enjeux
mondiaux changent. L'écologie progressiste s'attache plutôt à proposer des
alternatives au productivisme, pour que l'être humain se réalise pleinement
dans un monde où il n'est plus réduit à une fonction de producteur ou de
consommateur, et où, s'il retrouve une certaine symbiose avec la nature, ce
n'est pas du tout incompatible avec le fait de se développer technologiquement.
En réalité, c'est le rapport aux objets, aux animaux et à ses semblables qui
doit changer ici, et qui ne doit justement plus être réduit à une vision
purement matérialiste.</p>
<p>Aussi, je doute sincèrement que le productivisme soit un progrès lorsqu'on
voit aujourd'hui la régression à la fois de la condition humaine et de la
condition animale en ce nom, le règne toujours plus grand du court-terme et du
chiffre, et la course à la régression sociale qu'opèrent les dirigeants
libéraux pour préserver ce modèle. Parce que finalement, si certains droits
fondamentaux ont été obtenus il y a deux siècles par les libéraux, les progrès
obtenus sur le droit du travail et la protection des minorités l'ont été (et le
sont) par les socialistes. Or, aujourd'hui on assiste à une remise en cause
perpétuelle de ces progrès au nom de l'idéal libéral du point de vue
économique, qui est même parfois associé à un retour en arrière sur les droits
fondamentaux ; il suffit de constater la politique que mènent les USA ou le
Brésil, ou certains régimes d'extrême-droite en Europe. Cela montre en
substance que le libéralisme du XXIe siècle n'est plus celui du XIXe siècle, à
partir de là peut-on encore décemment parler de "gauche" quand on parle de
libéralisme ?</p>
<p>Néanmoins, je me trompe peut-être mais j'ai cru comprendre que votre
mouvement "Gauche libérale" était favorable au revenu de base inconditionnel.
Si c'est le cas, je m'en réjouis, pour autant il ne faut pas oublier que cette
idée a aussi pour objectif de donner à l'être humain d'autres perspectives de
vie, bien plus constructives et bien plus ouvertes que celles auxquelles le
modèle productiviste le cantonnent quotidiennement. J'ignore quelle est la
réflexion de votre mouvement sur le reste.</p>L'écologie fasciste : l'« aile verte » du parti nazi et ses antécédents historiques - sylvanguiurn:md5:4f00ef3cc290e81112bea4eb1f2544fa2019-11-02T12:13:20+01:002019-11-02T12:13:20+01:00sylvangui<p>Merci à Mr Aurélien Barrau de m'avoir grâce à Facebook aiguillé vers ce lien
. Vos références sont abjects Peter Straundenmaier est débunké pour son bouquin
par Aurélie Choné contactez moi et je vous donnerai les pdfs. Aussi ce Strauden
a monté un truc en épingle concernant la biodynamie : Voici : Oui, et drôlement
celui qui accuse la biodynamie d'être nazi (c'est comme accuser la laine d'être
nazi puisque les nazi portaient des uniformes en laine, même procédé
logique...) c'est à dire Peter Staudenmaier, fonde son propre institut
d'"écologie sociale", à croire qu'ainsi on veuille balayer toute concurrence:
<a href="http://social-ecology.org/wp/about/about-the-ise/" title="http://social-ecology.org/wp/about/about-the-ise/" rel="nofollow">http://social-ecology.org/wp/about/...</a>
Je rappel que ce Strauden a fait travailler un groupe de ses universitaires la
ou il enseigne à l'université Marquette qui est Jésuites , C vrai pas trop à
gauche point trop n'en faut... Donc repassez avec vos idées noires .... La
technique du mal serait-elle en route avec l'inversion de l'histoire à nouveau
On ostracise !?! Aurelien je vous fait du pieds sur Facebook depuis Lurette ,
acceptez mon amitié . Désolé pour l'orthographe les amis l'école, j'y étais
pas. Trop occupé dans les champs , les arbres la nature ...</p>